Prix GSCA 2014: Jérusalem remporte le prix du meilleur film et de la meilleure photographie

Par GSCA. Photo: James Hyder. Source: giantscreencinema.com

Le gala GSCA 2014 Achievement Awards a été présenté le 20 Septembre au centre des sciences de l’Ontario lors de la réception d’ouverture de la 2014 International Conference and Trade Show. Félicitations aux lauréats suivants:

Meilleur film, court-métrage
Meilleure photographie
Jerusalem

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Jean-Marc Vallée aux Oscar, bis?

Par François Lévesque. Photo: Reese Witherspoon Instagram. Source: ledevoir.com

Jean-Marc Vallée retournera-t-il aux Oscar un an à peine après la belle récolte qu’y fit son Dallas Buyers Club? La question se pose d’ores et déjà, du moins si l’on en croit la publication spécialisée Variety, bible de l’industrie cinématographique qui, dans son bilan du Festival de Telluride, place le film parmi les premiers favoris de la saison des prix.

En effet, à la suite de l’accueil enthousiaste reçu par Wild, présenté en première mondiale à Telluride, au Colorado, Variety — et d’autres — suppute allègrement sur de possibles nominations, entre autres dans les catégories du meilleur long métrage et de la meilleure actrice.

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Première de Wild au Festival international du film de Toronto

De Sonia Sarfati. Photo: Kayla Rocca. Source: lapresse.ca

Les longs métrages américains de Philippe Falardeau (The Good Lie) et de Jean-Marc Vallée (Wild), tous deux avec Reese Witherspoon, seront projetés en premières lors du 39e Festival international du film de Toronto (TIFF), qui se déroulera du 4 au 14 septembre dans la Ville reine.

Mais alors que le long métrage du premier sera présenté en première mondiale, celui du second fera l’objet d’une «première internationale».

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Dallas Buyers Club et Gravité volent la vedette à la soirée des Oscar

Par Agence France-Presse. Photo: Reutres. Source: lapresse.ca

Dans une année riche en grandes oeuvres et performances hors de l’ordinaire, Dallas Buyers Club, du réalisateur québécois Jean-Marc Vallée, s’est mis en évidence lors du 86e gala des Oscars, dimanche soir à Los Angeles, raflant trois des six statuettes pour lesquelles le film avait été mis en nomination.

Bien qu’il ait été supplanté pour le nombre de trophées par Gravité (Gravity), qui en a glané sept sur dix mises en candidature, Dallas Buyers Club a mis la main sur deux des prix les plus prestigieux, ceux du meilleur acteur et du meilleur acteur dans un second rôle, remis comme prévu à Matthew McConaughey et à Jared Leto, respectivement.

À ce double triomphe, l’oeuvre de Jean-Marc Vallée a ajouté l’Oscar des meilleurs maquillages et costumes, mais a été mise de côté dans les catégories du meilleur montage, du meilleur scénario original et du meilleur film.

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Oscars: 6 nominations pour Dallas Buyers Club de Vallée

De Isabelle Hontebeyrie et Guillaume Picard. Source: canoe.ca

Dallas Buyers Club du Québécois Jean-Marc Vallée est nommé six fois aux Oscars, dont comme meilleur film, la catégorie la plus prestigieuse de la 86e cérémonie à venir à Hollywood le 2 mars.

Les acteurs Matthew McConaughey et Jared Leto, récompensés dimanche aux Golden Globes pour leur travail dans Dallas Buyers Club, sont en nomination respectivement comme meilleur acteur et meilleur acteur de soutien.

Dallas Buyers Club est aussi cité dans les catégories du meilleur scénario original (Craig Borten et Melisa Wallack), des meilleurs coiffures et maquillages (Adruitha Lee et Robin Mathews) et du meilleur montage (John McMurphy et Martin Pensa).

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Dallas Buyers Club : un portrait saisissant

Par Marc-André Lussier. Photo: Anne Marie Fox/AP/Focus Features. Source: lapresse.ca

D’évidence, la composition de Matthew McConaughey constitue l’élément le plus spectaculaire de Dallas Buyers Club. On aurait pourtant tort de réduire la réussite du nouveau film de Jean-Marc Vallée à ce seul aspect. En travaillant avec peu de moyens, dans un cadre indépendant, le cinéaste québécois est parvenu à tourner un film captivant, dénué de tout sentimentalisme, qui se démarque aussi grâce à la qualité de sa réalisation. Paradoxalement, cette production de forme parfaitement anti-hollywoodienne pourrait bien mener une bonne partie de l’équipe aux Oscars, célébration ultime de l’excellence dans la Mecque de l’industrie du cinéma américain.

Cette réussite mérite d’être soulignée, d’autant plus que cette histoire met quand même en vedette un personnage peu aimable. Et qui le restera, malgré son évolution au fil de la maladie.

Une histoire vraie

Inspiré d’une histoire vraie, le scénario est construit autour du combat que mène Ron Woodroof (McConaughey), un électricien texan qui, dans ses loisirs, joue au cowboy et monte des taureaux. Dans l’une des premières scènes du film, on le voit en train de batifoler avec deux jeunes dames dans un enclos en attendant son tour. C’est d’ailleurs probablement à cette occasion qu’il choppe un virus dont il ignorait pratiquement l’existence jusque-là.

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La vie d’Adèle – Chapitres 1 & 2 : à fleur de peau

Par Marc-André Lussier. Photo: Media Films. Source: lapresse.ca

D’abord, laissons la polémique là où elle aurait dû rester: dans le mode de fabrication d’un film exceptionnel. En revisitant la bande dessinée de Julie Maroh, Le bleu est une couleur chaude – en la magnifiant, à vrai dire – Abdellatif Kechiche a pu mêler son propre univers à celui de l’auteure et pousser sa démarche encore plus loin, jusqu’à atteindre des sommets de vérité. Là se situe d’ailleurs la force de cette oeuvre ébouriffante.

Qu’il montre ses personnages en train de discuter, de bouffer, de se confronter ou de faire l’amour, le réalisateur de L’esquive et de La graine et le mulet reste toujours dans l’authenticité du moment, probablement ici davantage que dans ses films précédents.

L’ivresse de la découverte

Rarement un cinéaste sera-t-il parvenu à traduire de façon aussi juste dans une oeuvre l’ivresse de la découverte. Son héroïne, extraordinairement campée par Adèle Exarchopoulos, est en effet à l’âge où une personne commence à vraiment se révéler à elle-même.

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Un documentaire en très haute définition sur Jérusalem

Par Aymeric Christensen. Photo: Nicolas Ruel. Source: lavie.fr

Jérusalem à la hauteur de sa légende. Pour proposer une visite inoubliable de cette ville emblématique, lieu saint pour les trois grandes religions monothéistes, il fallait au moins une caméra IMAX. Le film n’est pas encore sorti, mais le moins que l’on puisse dire, en découvrant la bande annonce de cette production National Geographic Entertainment, réalisée par Daniel Ferguson, c’est que le résultat promet d’être saisissant.

Le documentaire, au-delà des défis techniques évidents (comment filmer dans la ville ? comment réaliser des vues aériennes alors que le survol de Jérusalem est théoriquement interdit ?), représentait aussi un défi politique : comment éviter de réaliser un film idéologiquement orienté, sur un sujet aussi sensible ? Le parti-pris retenu pour contourner ce problème a été de présenter trois adolescentes : une juive, une musulmane et une chrétienne. Le réalisateur a donc suivi chacune d’entre elle à son tour pour une visite filmée de la ville, les laissant présenter chaque lieu selon leur propre point de vue.

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Dallas Buyers Club au Festival international du film de Toronto (TIFF)

By Kevin Sweet. Photo: Reuters. Source: radio-canada.ca

Les Québécois sont à l’honneur au Festival international du film de Toronto. Après Denis Villeneuve, c’était au tour de Jean-Marc Vallée de présenter sa plus récente production hollywoodienne samedi soir.

Dallas Buyers Club raconte la vraie histoire de Ron Woodroof, un cowboy atteint du VIH. Avec un pronostic qui lui donne trente jours à vivre, il tente de guérir en se procurant illégalement des médicaments non autorisés aux États-Unis. À l’aide d’un transsexuel, interprété par un Jared Leto méconnaissable, il revend les médicaments à d’autres sidéens.

Le film met en vedette un Matthew McConaughey complètement métamorphosé. L’acteur a perdu 17 kilos pour son plus récent rôle.

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Cannes : la Palme d’or remise à La vie d’Adèle

Par Radio-Canada. Photo: AFP. Source: radio-canada.ca

La Palme d’or du Festival de Cannes a été remise dimanche au film français La vie d’Adèle, d’Abdellatif Kechiche.

Le jury, présidé par Steven Spielberg, a fait le choix inhabituel de remettre la Palme d’or non seulement au réalisateur, mais également aux deux vedettes de son film, Adèle Exarchopoulos et Léa Seydoux. Ils se sont fait l’accolade en montant sur scène pour recevoir l’un des prix les plus prestigieux du monde du cinéma.

La vie d’Adèle, adapté librement de la bande dessinée Le bleu est une couleur chaude, de Julie Maroh, raconte une histoire d’amour passionnée entre deux femmes. Le film a reçu la Palme d’or alors que des dizaines de milliers de personnes défilaient dimanche dans les rues de Paris pour protester contre la nouvelle loi française légalisant le mariage entre conjoints de même sexe.

« Nous avons été privilégiés de voir ce film, et non gênés […]. C’est l’histoire d’un amour profond, magnifique. Le réalisateur n’a pas du tout bridé le récit. Nous étions sous le charme du film et de ses actrices formidables. Le réalisateur a permis aux personnages de prendre réellement vie », a déclaré Steven Spielberg lors de la conférence de presse suivant la cérémonie de clôture. « Ce n’est pas la politique qui nous a influencés, mais le film », a-t-il poursuivi, faisant référence aux manifestations contre le mariage gai.

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